Se défendre en cas de harcèlement moral au travail. Me Christophe NOEL avocat en droit du travail assiste les salariés s’estimant victimes de harcèlement moral ainsi que les employeurs en défense, si besoin, contactez l’un de nos cabinets à Paris ou Annecy (avocat harcèlement moral).
I. L’aide d’un avocat en cas de harcèlement moral peut s’avérer précieuse
1/ Distinguer le harcèlement moral d’autres problématiques liées au travail
C’est la première étape que doit entreprendre un Avocat pour bien vous défendre.
En effet, la souffrance au travail ne fait pas l’objet d’une réglementation particulière et est encadrée par les mêmes règles que les accidents physiques.
Le principe général est que l’employeur ne peut imposer au salarié des conditions de travail portant atteinte à sa santé physique et mentale, alors même que les déficiences psychiques sont plus difficiles à évaluer.
La notion de harcèlement moral fait partie des risques psycho-sociaux que l’employeur doit prendre en compte et contre lesquels il doit protéger ses salariés.
En pratique, la qualification juridique de harcèlement moral s’avère parfois difficile : le risque est de faire de cette incrimination un concept « attrape-tout », véritable « déversoir » de problématiques plus générales relevant du management, de l’organisation, du climat social ou des conditions de travail.
L’aide d’un Avocat est déterminant pour évaluer la situation et qualifier juridiquement les faits.
Concrètement, voici des faits qui ont été reconnus comme constitutifs de harcèlement moral par les juges :
- des humiliations et critiques répétées,
- des conditions de travail dégradantes et des humiliations
- des mesures vexatoires, générant un sentiment de persécution
- une mise à l’écart qui se traduit par l’isolement du salarié
- une rétrogradation
- des sanctions injustifiées et répétées
- une surveillance illégale.
Le harcèlement peut s’exercer sur un subordonné mais peut également s’exercer entre collègues de travail.
2/ Le régime particulier de la preuve du harcèlement moral
En vertu des articles 1154-1 et suivants du code du travail, l’avocat saisi par le salarié doit établir des faits qui permettent de supposer l’existence d’un harcèlement moral.
Au vu de ces éléments, il incombe à l’employeur de prouver que ces agissements ne sont pas constitutifs d’un tel harcèlement et que sa décision est justifiée par des éléments objectifs étrangers à tout harcèlement.
En clair, il n’appartient pas au salarié d’apporter la preuve du harcèlement moral au travail.
Les éléments allégués doivent simplement être de nature à constituer une supposition. Si cette supposition est suffisamment étayée, il revient à l’employeur de justifier sa décision par des éléments objectifs.
À l’inverse, si l’argumentation du salarié est insuffisante, autrement dit si le salarié n’avance pas de faits précis et concordants, il sera débouté de sa demande.
Le rôle de l’avocat saisi d’un problème de harcèlement moral est donc déterminant pour veiller à la bonne application de ces règles de preuve.
L’avocat pourra mieux vous défendre avant tout litige, notamment concernant le droit d’alerte de la Médecine du travail lorsqu’elle constate la présence d’un risque pour la santé du salarié, ce que traduit un harcèlement moral.
Pour bien préparer votre défense, l’avocat vous conseillera durant le procès, concernant les preuves qu’il faut réunir, telles des certificats médicaux, des attestations etc.
Le rôle des l’Inspecteur du travail peut s’avérer utile, car il est susceptible de se rendre dans l’entreprise pour auditionner les salariés et les dirigeants.
La victime du harcèlement a intérêt à saisir les représentants du personnel de sa situation, car ces derniers ont le pouvoir d’alerter l’employeur et de procéder à une enquête.
C’est le plus souvent à l’occasion de la rupture de son contrat de travail que le salarié entend dénoncer les actes de harcèlement moral qu’il a subis.
II. Le harcèlement moral n’est pas appréhendé de la même façon civilement et pénalement
1/ Les points communs
L’article L. 1152-1 du Code du travail dispose qu’« aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel ».
L’article L. 222-33-2 du code pénal réprime également les mêmes faits, qui sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende.
Il est traditionnellement admis, au civil comme au pénal, que le harcèlement moral suppose des actes répétés.
Une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte aux droits et à la dignité, d’altérer la santé physique ou mentale ou de compromettre l’avenir professionnel du salarié, doit être caractérisée.
La loi n’exige toutefois pas que les agissements visés aient réellement porté atteinte aux droits ou à la dignité des victimes. Il suffit qu’ils soient « susceptibles » d’y porter atteinte.
2/ Les distinctions
Pour retenir un harcèlement moral civilement, la Chambre sociale de la Cour de cassation n’exige pas que l’auteur du harcèlement ait agi volontairement, c’est-à-dire qu’il est eu l’intention de nuire à la victime.
En outre, la victime doit seulement établir des faits qui laissent supposer l’existence de ce harcèlement, ce qui facilite grandement la charge de la preuve qui pèse sur elle.
C’est ensuite à la partie qui est accusée de harcèlement d’établir que ces agissements sont justifiés par des éléments objectifs étrangers à tout harcèlement. En cas de doute, il profite à la victime.
En revanche, ces règles ne valent pas devant les tribunaux correctionnels, devant lesquels la victime, qui est partie civile, doit rapporter la preuve de la culpabilité du présumé harceleur.
En clair, il n’y a aucun aménagement de la charge de la preuve et le doute profite toujours à l’accusé, c’est à dire au présumé harceleur. C’est le principe qui régit tout procès pénal, y compris en matière de harcèlement.
En fonction des éléments de preuve qui figurent au dossier, l’Avocat vous aidera à choisir la procédure la plus adéquate.
Harcèlement moral : assistance de Me NOEL
Il convient de solliciter une double indemnisation, correspondant au préjudice subi résultant d’une part de l’absence de prévention par l’employeur des faits de harcèlement et d’autre part des conséquences du harcèlement moral subi.
Le cas échéant, il y a une triple indemnisation en cas de faute inexcusable commise par l’employeur.
Le choix d’aller devant le juge civil ou le juge pénal est déterminant et dépend de chaque affaire.
Pour aller plus loin sur le sujet du harcèlement moral au travail vous pouvez consulter ces pages :
Camille H dit
Bonjour Maître, Je suis épuisée moralement par mon travail. Mon médecin m’a arrêté pendant plusieurs semaines. Dois-je me faire déclarée inapte à mon travail ? J’ai peur d’être licenciée et de perdre tous les droits par la suite, sans avoir dénoncé ma situation de harcèlement moral. D’autres sont-ils dans mon cas ?
Avocat Christophe Noel dit
Bonjour Madame, Avant de vous faire déclarer inapte (ce qui va sans doute déboucher sur votre licenciement), il faut dénoncer par écrit le harcèlement moral et ne pas hésiter à saisir la justice, soit le conseil de prud’hommes soit le tribunal correctionnel. Bien à vous
virginie pacherie dit
Bonjour maître, j’ai des gros soucis à mon travail on m’a agressée physiquement, moralement et ma direction (RH) à mis 2 mois à réagir et la personne travail toujours sur le même lieu de travail que le mien, mes responsables ainsi que ma RH sont aux courants des différents soucis au travail que l’on est toujours sur mon dos, que l’on me dénigre, et ma RH au lieu de régler les différents problèmes préfère me rejeter la faute en permanence, et est de mauvaise fois, les confidences que je lui ai faites elle les retournes contre moi et les exposes alors que c’est censé être confidentiel, je n’ai pas de gros moyens financiers et ne sait vers qui me tournée je vous appel à l’aide et voudrait savoir qui contacter pour m’aider car je suis vraiment épuisée, il faut savoir qu’il y a 2 ans j’ai été victime d’une agression et ai eue 15jours d’ITT j’ai eue beaucoup de mal à me relever et maintenant je subis tous cela
ELGHOUAOUTA dit
Bonjour Maître
Je suis fonctionnaire dans les lycée je travaille pour la région Ile de France.
Ma cheffe de service ou je travaille au lycée à Villiers le duc . M’humilie en publics devant mes collègues et chef de cuisine, elle me dénigre en disant des mensonges à chaque collègues (elle sont venir me répéter mais m’on défendu) elle divise bien sûr les collègues, me met a l’écart de mes collègues. Elle me brimades chaque jour pour me déstabiliser dans mon travail . Je subis reproches sur reproches. J’ai une preuve c’est qu’à la fin en un mois . Elle pose des rapports concernant mon travail dont 10 rapport non justifié sur le bureau du gestionnaire du lycée et suite à cela il m’a hurlé dessus en l’humiliant sans retenu avec non respect sans arrêt pendant 3 quart d’heure voir une heure entre les rires de ma cheffe de service et les menaces du gestionnaire du lycée je suis resté calme et j’ai bien retenu en détails les insultes du gestionnaire l’humiliation et les rires de ma cheffe . A la fin il a envoyé ma cheffe chercher l’impression du résumé des rapports et re envoyer ma cheffe pour un stylo, devant le rapport qu’il se demande de signer, je lui demande ce document que je prends déjà dans ma main . Je l’emmène sans le signer. ET lui dit que je conteste tous écrit . Car des mensonges dans tout les reproches.du.
Coup le gestionnaire a douter ce qu’a déclaré ma cheffe. Et n’a pas envoyé ce rapport aux supérieurs.
NAPOL dit
Je souhaite savoir si vous êtes en mesure de défendre des dossiers dans les DROM (martinique)
Merci
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
Bonjour
Oui je plaide aussi dans les DOM-TOM… mais c’est souvent « singulier » devant les prud’hommes là-bas (on comprend pas toujours tout)… mais ça redevient « normal » devant les cours d’appel.
Delphine Payet dit
Bonjour maître,
Je vis à un l île de la Réunion,mon mari a subi harcèlement sexuel par un collègue puis harcèlement moral par la direction il y a 5ans. 5ans qu il a porté plainte, 5 ans qu il est en maladie professionnelle. Aujourd’hui nous n avons aucune nouvelle de son avocat ! L affaire est passé au tribunal administratif en début d année, nous ne savons pas si la collectivité a fait appel ! De plus, il est censé avoir la protection fonctionnelle mais rien n est fait !pouvez vous nous aider ? Nous sommes désespérés !
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
Bonjour,
Ecrivez moi par email, et faites attention au délai de prescription qui est de cinq ans je vous le rappelle.
Lefebvre dit
Bonjour Maître,
Des allégations répétées d’un collègue envers moi effectuées à mon insu auprès du management sur de prétendus problèmes relationnels, ont eu pour conséquence ma mise à l’écart du projet sur lequel je travaille actuellement ainsi que le refus d’une promotion en tant que responsable.
Pourriez-vous m’indiquer si cela relève du harcèlement moral ?
En vous remerciant par avance
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
Bonjour,
Non, c’est de la dénonciation calomnieuse, mais pas du harcèlement.
Nono dit
Bonjour Maître
Je suis fonctionnaire dans l’hospitalière et depuis le changement de direction dans un premier temps puis chef de service , mes conditions de travail ont littéralement changés . Je suis passé après 10 ans de bonnes notations et de bons services à la mise au placard , intimidation verbale lors d’une réunion me conduisant à l’exaspération, puis au conseil de discipline , sanction administrative et pécuniaire… actuellement mis en congé longue durée , je suis une thérapie pour reprendre confiance … Mais la peur reprendre mon poste avec un sursis pesant et constant et une vulnérabilité développée .
Je ne sais pas quoi faire , quelles démarches entreprendre pour que cette situation cesse et que je puisse revenir dans de meilleures conditions
Cordialement
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
Bonjour
Demander déjà le bénéfice de la protection fonctionnelle pour la prise en charge de vos frais de justice en invoquant le harcèlement.
Mouhot dit
Bonjour Maitre
Je me permets de parler pour ma fille et une collègue. Depuis Mars 2020,leur société a été rachetée ,le responsable leur a fait miroiter beaucoup d avantages pour que les salariés signent leurs contrats ! Arrivées dans cette nouvelle entreprise, le responsable d unité les humilient sans arrêt, trouvent toujours une excuse pour les denigrer » ce sont des racailles, des poisons,des ex de l autre entreprise!,des propos discriminatoires, sachant que l une d elle est d origine algérienne ! Depuis octobre elles sont en arrêt, elles reprennent et c est reparti,! Le Ru leur a avoué avoir eu l ordre de tout faire pour qu elles démissionnent. Elles ont alerté la RH,l assistante de direction,mais c est les filles qui mentent. Tout l atelier s est rendu compte de cet acharnement, mais aucun ne veut parler car ils sont intérims et je pense qu un chantage doit être effectué par le RU. Elles ont demandé une mutation dans notre département, mais vous pensez que cela a été refusé. Je précise qu il n y a aucun syndicat pour les aider. Ma fille est en dépression sévère, l entreprise n envoie pas l attestation a la sécu, quand elle téléphone « on a oublie ».Nous avons cherché de l aide ,tout le monde nous envoie vers l inspection du travail, mais ce service ne répond pas ! Elles ont alertées le médecin du travail mais apparemment il ne veut se mêler de ça ! Voilà où elles en sont ! Sans preuves orales,elles n ont que signifié par écrit tout ce qui s est passé de juin à octobre ,sans parler de l hypocrisie des supérieurs. Que faire ? Merci de votre réponse.
Cedric dit
Bonsoir je me présente Cédric que j ai été Harceler psychologiquement verbalement et autres j’ai porté plainte à mon entreprise et au commissariat mais j’ai l’impression que c’est tombé à l’eau que faire
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
Bonjour,
La plainte pénale ne donne en général rien dans ce type de dossiers. Il faut saisir le conseil de prud’hommes si vous êtes encore dans le délai, c’est préférable.
Patricia dit
Bonjour,
Je travaille dans un établissement public depuis 2002. Après une fusion en 2009, les conditions de travail se sont dégradées. J’ai toujours mis un point d’honneur à me donner à 100% dans mon travail. J’ai toujours été prête à aider et de ce fait je ne savais pas dire non. Après cette fusion, la charge de travail est devenue grandissante. Je me suis efforcée à y faire face autant que faire se peut. Je ne comptais plus mes heures et je n’arrivais plus à séparer vie professionnelle de vie privée. J’ai fini par alerter mes responsable en 2011 mais ils ont refusé de prendre en compte ma surcharge de travail jusqu’au jour où j’ai craqué et me suis disputée devant tous mes collègues avec mon supérieur hiérarchique. A partir de la le cauchemar à commencé : mise au placard, soit trop soit pas de travail donné, saccage de mes entretiens annuels… J’ai eu un arrêt maladie de 4 mois au cours duquel j’ai pris contact avec les représentants du personnel. J’ai fait un signalement auprès de la direction. Finalement, j’ai été accompagné pour un changement d’agence. Pensant que j’allais enfin sortir de cette souffrance qui me minait ma santé, j’ai repris mon activité ailleurs en 2015 mais finalement c’était comme si on avait donné le mot à la nouvelle hiérarchie. Je me suis trouvée à l’accueil et je devais traiter toutes les situations à ce poste qui n’était pas prévu à cet effet. Ceci à généré un très gros stress puisque je conservais les dossiers pour les traiter après mais mes supérieurs ne me donnaient jamais de temps pour traiter les dossiers récupérés à l’accueil et du coup j’accumulais du travail et je courais après le temps. J’ai été très rapidement été mise à l’écart des collègues et je n’ai jamais réussi jusqu’à aujourd’hui à y faire ma place. Mon mal être grandissant je n’arrivais plus à aller au travail jusqu’au jour où j’ai tourné en rond en voiture n’arrivant à me rendre au travail. Il s’en est suivi un arrêt de 6 mois puis une reprise en mi temps thérapeutique. J’ai appris à mon retour que j’étais considérée comme un boulet par un petit groupe de collègues et la collègue qui m’a appris cela m’a dit également qu’il était préférable que je parte de l’agence parce que j’etais souvent en arrêt et que du coup ils faisaient le travail à ma place. J’en ai pleuré et j’ai alerté ma responsable hiérarchique qui a refusé de prendre en charge le problème. L’histoire est très longue. En tout cas, encore aujourd’hui je subis des pressions de la part de la hiérarchie et de quelques collègues. Pour sortir de cet environnement, j’ai fait une demande de changement de poste et ce depuis 2018. Je constate que ma demande n’avance et ce malgré des alertes de la médecine du travail, mes nombreux courriers à différents services et malgré une reconnaissance travailleur handicapé.
Puis-je savoir quels sont les recours possibles dans la mesure où mon employeur refuse de faire le nécessaire alors qu’il a une obligation de résultat quant à la santé de ses salariés.
Merci pour votre réponse
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
votre statut de travailleur handicapé présente il un lien vos difficultés ? si oui, c’est une discrimination au travail et vous pouvez alerter le Défendeur des droits en déposant une demande sur le formulaire en ligne sur leur site internet.
Patricia dit
Bonjour,
Voir message précédent dent transmis le 14/04 à 0h37.
J’imagine que l’on ne peut vous poser plus d’une question. Néanmoins j’avais besoin de préciser les choses. J’ai une reconnaissance travailleur handicapé en raison de mes souffrances au travail. L’assistante sociale de mon travail m’a vivement conseillé de déposer une demande pour obtenir cette reconnaissance. Les difficultés sont antérieures à l’optention de la reconnaissance. Je suis une personne conscensieuse, compétente et très carré dans mon travail. Je pense que ça dérange un peu. Après c’est une supposition, en réalité je ne connais pas les raisons pour lesquelles je suis continuellement mise sous pression.
Aussi, pouvez-vous me dire quels sont les autres recours envisageables ?
Merci d’avance pour votre réponse,
Cordialement
Fabrice dit
Bonjour maître
J’ai un gros souci avec mon employeur
Il me pousse à bout me dit jamais bonjour avec son adjoint
Tellement qu’ils sont derrière moi je commet des erreurs dans mon travail
J’ai parlé de cela au syndicat mais rien. je reçois des courrier à plusieurs reprises, jusqu’au jour où j’ai pas pu venir à une convocation car mon fils est malade.
Il m’ont mis a pied 3 jours.
J’avais envoyé un mail pour prévenir mais il s’en fiche complètement.
Je fais de le tension maintenant.
Que faire car je suis souvent en arrêt maintenant.
Sandrine dit
Bonjour Maître en arrêt depuis le 8 décembre 2018 pour épuisement physique et morale mon employeur m’a dès le mois de février proposé une rupture conventionnelle car je pensais pouvoir reprendre mon activité.proposition que j’ai refusé avec 17 ans d’ancienneté. Impossible j’ai rencontré le médecin du travail m’a dit que je ne pourrais plus travailler chez avec les éléments que lui est apporté . Harcelée même pendant mon arrêt preuves a l’appui, j’ai fait une tentative de suicide en avril 2021 et j’ai passé 7 semaine ms en service psychiatrique. Je me mrelève doucement mais ne voulant plus voir ces personnes quelles sont mes possibilités lors de mon licenciement car il est évident que je ne souhaite plus les voir ? Merci de votre réponse
Christophe Noel, Avocat droit du travail dit
S’agissant d’une tentative de suicide, contactez moi par téléphone à Annecy demain matin.
Laetitia dit
Bonjour Maître,
Seriez-vous compétent pour un POURVOI en cassassion concernant du harcèlement moral subi de mon ancien employeur ?
Merci par avance.
Bergerie dit
Bonsoir Maître,
J’ai besoin d’un Conseil svp.
Je suis en CDD dans la fonction publique hospitalière et depuis mon arrivée un groupe de collègues rapportent à ma cadre des faits complètement faux me concernant afin de , je cite « vivement qu’on la fasse virer celle la ».
Cette situation met en péril mon éventuelle titularisation et ma cadre semble laisser couler malgré les nombreux entretiens que j’ai demandés à avoir pour expliquer la situation.
J’en viens à avoir peur de tout de ce que je fais ou dis.
Dernièrement une collègue anonyme m’a accusé d’avoir mis en danger un patient.
C’est de pire en pire je ne sais plus quoi faire.
Merci a vous
breteau dit
bonjours je m’adresse pour s’avoir comment puis-je me protéger de mon employeur
j’ai effectuer du 1février 2021 au 4 mars 2021 104 heures d’heures supplémentaire ceux qui ma fais mettre dans une terrible dépression . le 4 mars j’ai craché du sang sur mon lieu de travail ainsi qu’un malaise mon chef de station na pas voulu appeler les pompiers .c’est un de mes collègues sur son temps de pause il ma déposer a mon domicile ou après j’ai était a l’hôpital . il n’a pas déclaré sa en accident de travail .
il à appris que j’ai vue un avocat .il a voulu me choper a l’école de mon enfant me voyant pas il et venu directement à mon domicile que puis-je faire pour me mettre en sécurité sachant qu’il et vraiment fou ..
je vient de lui renvoyer une lettre recommandée et j’attends a ceux qu’il vienne directement a mon domicile est-ce que je peut mettre en place une mesure d’éloignement le temps que cela passe au conseil des prud’hommes ?
bien cordialement mr breteau kévin
THELINEAU dit
Bonjour Maître
À chaque désaccord avec mon patron il devient agressif, me rabaisse sur mes compétences, me dit de démissionner ou me dit qu’il reprend la prime qu’il me verse. Me dit que je ne cesse de me plaindre or que je me suis plains sur ma charge de travail 1 fois! Avec ma conscience professionnel même avec les cervicales bloqué je viens travailler. Entendre ses reproches m’affecte de plus en plus jusqu’àux pleures ( ceci est également arrivé en présence d’une collègue)
J’arrive à un stade où voir son numéro s’afficher sur mon téléphone me stress
Que faire?
Merci
Musso dit
Bonjour maître, je vie de l’harcèlement moral au travail par une personne employée,(abus d’autorité, manque de respect en continu, provocation…), ne sachant comment réagir je ne me suis jamais plains. Il à quel que jour de ça une « engueulade » c produit avec cette personne, ne supportant plus son manque de respect je ne me suis pas laissé faire. ( je me suis permis de lui parler comme elle se permet de parler ). Bref je suis convoqué afin de recevoir une sanction voir a l’exclusion pour faute grave. Je n’es aucune preuve (écrit ou visuel) je me sens sans défense
(A part des témoignages d’autre équipier) comment dois je réagir ???
Comment dois-je me défendre ??
Lyna dit
Bonjour maitre
Je travail depuis le mois de juin dans un hopital publique et dans ce service il y a eu deja beaucoup de probleme d ‘ harcelement et intimidations manque de respect de la part des memes personnes la hiérarchie est au courant mais rien ne change aujourdhui c est moi qui estime etre harcele on me surveille on me fait des reflexions et me manque de respect en public en me repondant avec mépris est ce que cela peut etre assimilé a de lharcelement ?
En vous remerciant de votre réponse.
Go dit
Bonjour maître ,
Avec cette crise sanitaire et travaillant dans le médico social mon directeur général m’a verbaliser et même écrit par mail que si je me faisais vacciner j aurai le poste que je voulais ..chose faite …promesse non tenue ..mal traitance aussi salariale car plusieurs rupture conventionnel refuser malgré tout ça et changement de direction comment je peux me défendre j ai poser une démission et prends le risque de ne plus rien toucher mais je ne pouvais même plus gérer ma vie familiale ..merci de votre réponse
michelle dit
Merci pour l’article
Aline dit
Comment savoir si je vis y un harcèlement moral ??
Régulièrement convoqué ou interpelé.. je finis souvent en pleurs au travail, j’y vais la boule au ventre chaque jour..
Pas de preuve à l’appui car ça se passe toujours sans témoin ou dans un bureau… Des collègues sont d’accord avec moi pour dire que c’est de l’acharnement car c’est que sur ma personne…
Maurel dit
Bonjour maître,
Suite à harcèlement moral pendant 4 ans et burnout, J’ai fini par quitter mon poste en juin et déménager pour un poste dans une autre boîte tout en étant salariee de mon employeur initial (statut de mise à disposition pour les 4 à 5 prochaines années). J’ai un dossier solide mais je crains que si j’attaque mon employeur pour réparation des préjudices subis, cela entrave mon travail actuel (qui se passe très bien). Or jje n’ai pas envie de laisser tomber. Serait il possible de repousser jusqu a dans 4 ans une procédure judiciaire, quitte à rompre mon contrat à ce moment là (sachant que sinon il faudra que je retourne chez eux vers 2025)? Merci ‘d’avance pour votre retour.
LAURENT dit
Bonjour, étant au forfait, je gère mon travail sans horaire contractuel. Depuis mon retour de maternité j’ai dis à mon employeur que je devais récupérer mon enfant 2 fois par semaine à la nourrice à 18h. Depuis ce jour mon patron me charge de travail, me fait des reproches constamment et notamment sur les horaires de garde de mon enfant (8h-18h ) qu’il trouve insuffisant. Il estime que je ne suis pas assez présente au travail, les réunions qu’il organise sont placées très tard le soir. Quand nous avons RDV à 15h, il me reçoit à 16h30 , et si je le sollicite il revient systématiquement sur le sujet me demandant si je suis pressée. Il me convoque régulièrement m’expliquant qu’il n’est pas le seul à trouver que je ne suis pas assez présente au travail, que même mes collègues ont cet avis. Pourtant je passe mes journées au travail (et une nouvelle fois je suis au forfait). Il n’hésite pas à me pousser à travailler également les week end, sachant que j’ai en bébé de 9mois. Est ce du harcèlement ou une attitude fautive? Je me sents épuisée psychologiquement.
Slimani dit
Bonjour, je suis fonctionnaire d’État. Après une intervention chirurgicale (angioplastie du tronc commun coronaire), 15 jours après j’ai fait un malaise sur mon lieu de travail et ma collègue m’a laissé seule pour aller chercher un colis alors que je lui ai dit que les pompiers allait arriver. Ma hiérarchie n’a rien fait remonter et mon malaise a été mis aux oubliettes. Aujourd’hui, je suis dans l’angoisse permanente de revenir sur le lieu. J’ai demandé du télétravail qui a été refusé au titre de ma RQTH et j’ai donc demandé un changement de service qui a été refusé. Je fais des crises d’angoisse et ma tension artérielle ne descend pas. Je ne suis ni aidée par la médecine du travail qui va dans le sens de l’administration je suis perdue. Je vois depuis peu un psychiatre… Mon médecin traitant alerte sur les risques psychosociaux car ce stress lié au travail va avoir des conséquences sur ma pathologie. Je ne sais plus quoi faire. Merci de votre aide
Radic dit
Je subi un harcèlement moral au travail et je pense avoir de sérieuses preuves. J’ai besoin d’un avocat
ZINDY dit
Bonjour maître, je vie de l’harcèlement moral au travail par des personnes employée,(abus d’autorité, manque de respect en continu, provocation…je me sent fliqué) De Mon directeur et mes 2 responsables… ne sachant comment réagir je ne me suis jamais plains. je ne supporte plus ces personnes, ne supportant plus leur manque de ). Bref je suis convoqué afin de recevoir une sanction. Je n’es aucune preuve (écrit ou visuel) je me sens sans défense
(A part des témoignages d’autre équipier) comment dois je réagir ???
Comment dois-je me défendre ??
Vanessa ROY-TODESCHINI dit
Bonjour, de puis novembre 2021, 2 collègues n’arrête pas de me mettre la pression, m’intimident et me font des menaces. Au printemps, je me suis même retrouvée devant les gendarmes pour vol alors qu’ils avaient tout manigance.
J’en ai parlé à mon supérieur qui m’a répondu « je m’en fou ».
J’ai envoyé un mail à l’employeur mais aucune t’épouse. Même la médecine du travail ne voulait pas me recevoir.
Du coup, c’est mon médecin traitant qui leur amisla pression. Mais il n’y a toujours rien de fait envers les 2 collègues qui me pourrissent la vie au travail. L’employeur reste muet à mes mails. Ils essayent de monter les autres collègues contre moi maintenant.
Que faire ? Je n’en peux plus
MME DUPLESSIS dit
Bonjour Maître,
Je fais partie sans doute des nombreux cas de harcèlement moral au travail dans un but de me pousser dehors. Auriez-vous un correspondant en Vendée pour prendre contact et avoir un conseil. Je suis une femme seule âgée de 64 ans, sans retraite en vue, et la perspective de perdre un emploi est plutôt anxiogène. Merci de votre réponse. Cordialement.
Hesslé dit
Bonjour mes 2 chefs d’équipe m’ont fait prendre ma pause la dernière. Je suis la seule femme dans l’équipe et tout mes collègues de travail hommes ont pu prendre leurs pause tous en même temps. Il n’y à que moi la seule femme qui à dû prendre la pause seule et la dernière ! Je n’ai pas aimée du tout.
PARRA dit
Bonjour
Moi-même victime de harcèlement moral, je pense que je risque de devoir faire appel à vos services.
Mon statut de fonctionnaire (Inspecteur des Finances Publiques) ne relevant pas du droit du travail, je vais devoir agir devant une juridiction répressive (Tribunal corectionnel à mon avis).
Accessoirement, j’ai pris conscience que le harcèlement, sous toutes ses formes, était une véritable laie pour notre société, aussi je souhaiterais savoir si dans la fonction publique, il est possible de reprendre des études de droit pour devenir avocat spécialisé dans cette matière.
Précision : j’ai une maîtrise de droit privé et un Master II Ingénierie du Patrimoine.
Bien cordialement
Faby dit
Bonjour,
Mon compagnon n’a pas pu se rendre à son travail en raison des conditions de circulation (neige et verglas). Son chef de travaux était informé.
Son patron est venu a notre domicile mardi 24 janvier dernier et aujourd’hui, jeudi 26 janvier, mon compagnon reçoit un courrier comme quoi il doit justifier ses absences avant d’avoir des sanctions disciplinaires.
Est-ce que ces agissements sont légaux ?
Cordialement
françoise mazza dit
une affaire de harcèlement discriminatoire au cph + cour d’appel, et une affaire de reconnaissance de la faute inexcusable de l’employeur au TASS + cour d’appel en parallèle : constat = jugements et arrêts complètement orientés en faveur de l’employeur malgré des preuves à l’appui telles courriers de l’inspection du travail en suite de mes alertes, attestations , preuves de ma mise à l’écart, preuve de mon blocage professionnel, preuve de ma mise au placard preuve du manque de matériel, etc… Soit c’est du déni de justice , soit ce sont des préjugés, ou autre toujours est-il que les cph étaient désignés depuis moins de 2 mois ,que la présidente était du collège employeur; En cour d’appel le président était à moins de six mois de prendre sa retraite, de plus je n’ai trouvé aucune décision signée par lui ou il y avait reconnu des faits de harcèlement moral, concernant mon affaire il n’a pas pris les éléments dans leur ensemble, a seulement reconnu la discrimination à partir d’un seul élément et que toutes mes demandes financières concernant des primes non versées devaient être payées par mon employeur; Au tass la présidente a rendu sa décision moins d’un mois avant de prendre sa retraite, pour faciliter sa tache elle a écarté tous mes courriers et tous mes documents médicaux!; En cour d’appel tass la présidente, qui faisait déjà partie du bureau de la cour d’appel cph en tant que conseillère, s’est contentée de faire un copier-coller de la décision cph sans même vérifier que les N° des pièces ne correspondaient pas d’une affaire à l’autre, ; j’ai demandé conseil auprès d’un avocat à la cassation or, après avoir encaissé mon chèque, il m’a fait une réponse bidon sans étudier mon dossier (conclusions = 90 pages + BCP de 200 pièces), s’appuyant sur le pouvoir souverain d’appréciation des faits dont disposent les juges du fond en la matière!.
Le médecin du travail avait conclu à un état de souffrance au travail et avait émis un avis d’inaptitude concernant l’environnement au travail. La cour d’appel n’a pas retenu que l’inaptitude était au moins pour partie la conséquence de la souffrance au travail dont j’ai été victime. Or, l’employeur avait pourtant manqué à son obligation de sécurité en s’abstenant de prendre toutes les mesures de prévention nécessaires et les mesures propres à faire cesser le conflit à l’origine de cet état de souffrance, la cour s’est contentée d’un courrier réponse de l’employeur faisant état de solutions inadaptées à mes conditions de travail carrément délabrées et de réunions fictives sans dates précises , de surcroit il n’a jamais établi de DUERP comme demandé par l’inspection du travail, celle-ci ayant par ailleurs et entre autres constaté que l’employeur ne justifiait d’aucun élément objectif étranger à toute discrimination… Tout ceci met en évidence que si harcèlement avéré il y a, la justice fera la sourde oreille et tant pis pour le justiciable déjà vidé psychologiquement qui en plus y perdra automatiquement financièrement!
Lou dit
Bonjour Maître
Je travaille actuellement à la SNCF et ayant subi du harcèlement moral groupe de la part de mes collègues j’ai porté plainte contre ceux ci, saisie l’inspectrice du travail et prévenu mon employeur qui m’a mise en mesure conservatoire depuis 5 mois maintenant alors qu’à la base cela ne devait duré que le temps de l’enquête. Mes agresseurs eux sont toujours au travail. Est ce normal et combien de temps peut durer cette mesure conservatoire ?
Saugnieux dit
Bonsoir je ne me rend plus o travail depuis fin décembre je n’y arrive pas après avoir vécu des agissements d’un de mes supérieurs il est toujour là à me complimenter à vouloir être ver moi me parler de chose sexuelle à vouloir savoir ma vie et il a essayé à plusieurs reprise de me bloquer et m’embrasser il s’excusait à chaque fois que je le repoussais mais recommençais à me dire que c’était plus fort que lui je n’es n’es pas parler à ma direction j’ai inventé des histoires pour mes absence mais elle ne me licence pas et j’ai vraiment peur que sa recommence si j’y retourne je ne dort plus depuis décembre c vraiment compliquer
Saugnieux dit
J’ai assez honte de tout sa et moi qui aime être féminine en dehors du travail j’ai peur que cela me retombe dessus , il c frotter à moi ma prise dans ces bras et vraiment j’ai honte car j’ai été tétanisée j’ai mis plus de 15jours à en parler à mon conjoint je c’est plus quoi faire et ver qui me tourner car je n’es aucune preuve
Soler dit
Bonjour M. Noel,
Je suis actuellement confrontée à une situation de harcèlement de ma directrice dans le cadre de mon CDD dans une école de musique associative en tant qu’animatrice professeure de piano. Les éléments sont les suivants : retards de salaire et de fiche de paie, absence d’excuse sur ce type d’incident voire justification dans le sens de la structure, absence de défense lors du harcèlement d’un parent remettant en question mon arrêt maladie, messages destinés aux parents m’étant adressé par erreur et me critiquant , salaire changé au dernier moment et mal communiqué (au dernier moment la veille + erreur sur mon adresse mail uniquement pour diminuer mon salaire), diminution de salaire sans avenant et sans mon accord, fausses accusations de mise en danger des enfants et inventions grotesques de dangers… le tout par mail et message. N’ayant pas beaucoup de moyens pour payer des frais de justice, étant étudiante à côté de ce travail, et redoutant un avocat très bien choisi de la partie adverse (brièvement mentionné par ma directrice lors de mon entretien de recrutement) est-il une bonne idée d’engager une démarche judiciaire prudhommes ou autre ? Je redoute la lourde perte en cas de non reconnaissance de ces éléments. J’ai quantité de preuves mais je ne sais si celles ci sont suffisantes pour établir sa culpabilité, qu’en pensez vous ? Je redoute que l’avocat adverse puisse inventer n’importe quoi pour gagner malgré les preuves, est-ce une crainte réaliste ? D’avance merci.
Bien cordialement
Laura dit
Bonjour,
Mon cas a moi est que mon chef est trop derrière moi a regarder les quotas toutes les 1h même pas! Toute les 10mn il viens me regarder a mon poste, regard mon temps de pose pour me dire que si nous somme en retard ne pas faire mes pause ou les réduires hors je n’excède pas mon temps. Toujours en trains de se comparer a moi, en disans (moi je fais! pk pas toi ?) il me dit je suis chef c’est comme ca si sa te va c’est bien sinon tu part!
Sa fait 3ans que je suis dans mon travail et il a changer quand il est passer chef y a quelques mois! Il me met un pression et m’oppresse!!! J’en est parler avec la responsable du site elle ma entendu mais me dit qu’elle a une confiance aveugle en lui et qu’il fait son travail hors il est beaucoup trop sur moi! Elle ma proposer de me changer de poste quelques temps pour que je souffle! Mais je suis perdante en terme d’heure et salaire! La je sens qu’il pourrait me faire perdre mon travail
Esc ce que tout ceci fait bien parti de harcèlement morale ?
Bds dit
Bonjour,
Un de mes collègues m’a accusé de folie en déformant des propos et des actes que j’ai effectué. Il a répandu cette rumeur au travail. J’ai eu des reflexions sur ma vie personnelle, on scrutait la propreté de mes vêtements de la part de mes autreq collègues… on a fini par mes dires que mon manque de confiance en moi et ma sensibilité necessitait que je prenne des médicaments.
J’ai tenté d’avoir des preuves mais aucun de mes autres collègues ne veut m’aider. On m’a dit des choses puis fais comme s’il ne s’était rien passé . (Je précise que je venais au travail en tremblant et partait en pleurant tous les jours). Que puis je faire ?
Lahemar julie dit
Bonjour Maître ,
Pouvez vous vous occuper de moi pour harcèlement morale, agression verbale et physique sur Bordeaux ?
Cordialement
drago dit
Bonjour ma fille est je pense victime de harcèlement moral pas la première fois hélas à cause d’un arrêt maladie jusqu’à samedi 11mars 2023 de la part de sa patronne et ses collègues via un groupe de discussion interne à l’entreprise dont je dispose des captures d’écran. Ma fille à prévenu le 8 mars pendant son jour de repos qu’elle était malade et qu’elle devait voir le médecin le lendemain matin , le médecin lui à prescrit un arrêt de travail jusqu’à samedi , et depuis ce matin elle reçoit des brimades et menaces sur son manque de conscience professionnelle ses soit disant nombreux arrêt ,deux pour Covid (qui n’ont pas plus à sa patronne qui demandait ouvertement à ses salariés de continuer de travailler si pas beaucoup de symptomes)et trois arrêts de trois jours sur sa première et deuxième années de présence (depuis aout 2021). A son retour lors d’un arrêt précédent elle à était volontairement mise à l’écart personne ne lui adressant la parole. j’aurais voulu savoir si il y avait matière à poursuite ayant des preuves via captures de leurs messagerie interne des pressions faites par les collègues et la patronne lors de son arrêt de travail. merci
Surville dit
Bonjour je devais être muté,avec accord de mes responsables, et au dernier moment 5 jours avant alors que je n’avais plus de logement que je rendais elle a été refusée…donc me retrouvant à la rue que puis je faire?
Cordialement
FELDMAN dit
Bonjour,
Je suis victime de Harcèlement Moral de la part de mon manager. J’ai obtenu de mon DRH au bout de nombreux échange et la mise en place d’une action permettant de tous sortir la tête haute un détachement de 3 ans renouvelable 1 fois.
Ce détachement va me permettre de m’éloigner de mon manager “Harceleur” et c’est une belle opportunité professionnelle.
J’y perd un peut financièrement et en confort de vie. Et j’ai une frustration que mon mal-être au travail n’est pas été reconnu par ma direction (ils se débarrassent de moi pour cette raison) j’ai accepté les conditions de mon avenant que je dois le signer dans quelques jours. Ce qui me permettra de sortir au plus vite de cette souffrance toujours présente.
Je n’ai jamais été arrêté pour justement montrer que c’était dur mais que j’étais une pro.
Puis je cependant, faire valoir après coup un préjudice moral en demandant une enquête auprès des représentants syndicaux et de l’inspection du Travail, car je ne trouve cela pas juste…..
Est ce que je ne risque pas de compromettre mon détachement!?
Et sinon combien de temps après les derniers faits puis je “attaquer” pas au pénal mais au civil? Pour avoir cette reconnaissance
Je vous remercie pour votre retour éclairé
Je vous remercie
Hugo .L dit
Bonjour,
Travaillant comme préparateur de commandes au service Drive d’un supermarché depuis 2018, j’ai rapidement été la cible de critiques quotidiennes, qui sont devenues des remontrances lors d’entretiens officieux pendant lesquels mes arguments étaient tournés en ridicule le peu de fois où le directeur du magasin me laissait m’exprimer.
Enfin, j’ai reçu un avertissement que j’estime injustifié courant 2022, auquel j’ai adressé une lettre de contestation qui n’a jamais trouvé de réponse. J’y dénonçais pourtant par écrit ces actes de harcèlement et m’appuyais sur le règlement intérieur de l’entreprise pour étayer ma version des faits. La seule chose ayant changé est que je ne suis plus « invité » à ce nombre incalculable d’entretiens officieux dans le bureau du directeur.
Fin 2022, un nouveau responsable est arrivé dans mon service. Je n’ai connu aucun problème avec lui jusqu’à ce que je fasse valoir mes droits lors d’un désaccord (En mai 2023) au sujet de jours de repos hebdomadaires placés volontairement sur des jours fériés fixes : Après avoir demandé à plusieurs responsables et personnes sensées connaître les lois au sein de l’entreprise et essuyé à chaque fois le même refus, l’inspection du travail m’a donné raison, j’ai eu gain de cause et j’ai bénéficié de plusieurs jours de repos supplémentaires au même titre que le reste de mon équipe.
Depuis lors, j’ai le sentiment que mon responsable fait tout pour me nuire, m’humilier et me pousser à la démission. Brimades quotidiennes, moqueries, injustices, remontrances injustifiées/mensongères, c’est redevenu l’enfer.
– Le 21/09/23, suite à une énième altercation avec lui au sujet d’une injustice, j’ai décidé de parler de ces problèmes à mon médecin et à la médecine du travail, qui m’ont arrêté plusieurs mois.
– Quelques semaines plus tard, alors que mon arrêt courrait encore, la gendarmerie m’a informé que mon responsable avait porté plainte contre moi pour menaces réitérées de violence et dégradation de bien privé (Ses 4 pneus ont été crevés sur le parking du magasin).
– J’ai évidemment nié tout ce qui m’était reproché, je me rappelle néanmoins avoir pesté au sujet de mon responsable auprès d’autres collègues de travail le 21/09 avant de partir voir mon médecin.
– Aujourd’hui le 22/11, j’ai reçu une convocation de mon employeur en vue d’un licenciement pour faute grave avec mise à pied conservatoire courant à partir du 18/11. Le rendez-vous est fixé au 01/12, soit plus de 10 jours après le début de la mise à pied.
– Sans nouvelle de la gendarmerie depuis mon audition le mois dernier, j’ai commencé à recueillir des témoignages de la part de collègues et d’anciens collègues de mon secteur et d’autres au sujet du harcèlement que je subi et du comportement clairement inadapté de mon responsable qui va jusqu’à proposer « du sirop de chêne au bout de son gland » à de jeunes employées (choquées) qui se plaignent de maux de gorge, ou encore jusqu’à accuser à tort un jeune collègue (outré, aujourd’hui également en arrêt à cause de lui) de venir au travail ivre et de tenter de l’empêcher d’acheter un éthylotest, avant de lui dire en rigolant devant des bouteilles d’alcool : « J’ai la commande de ta mère hahaha! »
———————————-
Mes questions sont donc les suivantes :
– Parler vulgairement de mon responsable à d’autres collègues et utiliser des phrases comme « j’ai envie de le frapper » justifie-t-il d’un licenciement pour faute grave (Il ne s’agit pas réellement de menaces car il n’était pas lui-même le destinataire et ces mots étaient surtout dits sous le coup de la colère..) ?
– Que puis-je faire à l’aide des témoignages récoltés, de la lettre dans laquelle je dénonce des faits de harcèlement qui n’ont jamais cessé, du fait qu’un autre collègue est lui aussi en arrêt pour harcèlement à cause de mon responsable et que d’autres le sont également pour harcèlement dans d’autres services?
– Ne peut-on pas intenter une action en justice pour manquement de l’employeur à ses obligations et pourquoi pas même pour harcèlement lui même, puisqu’il a pris part au mien?
– Le fait que mon responsable n’ait reçu aucune sanction suite aux plaintes de mes collègues précédemment cités n’exclue-t-il pas que je sois licencié pour faute grave à cause d’un pauvre « J’ai envie de le frapper » sous la colère..?
—————————–
Vous remerciant par avance de votre réponse
Axelle G-R dit
Bonjour,
En septembre 2023 j’ai interpellé mon employeur sur le fait que ses sautes d’humeur répétées et injustifiées ainsi que ses comportements passif aggressifs et invitations mensuelles à « prendre la porte si je ne suis pas contente » dégradaient mes conditions de travail et ma santé. S’en sont suivi des échanges de mails dans lesquels les faits ont été détaillés. Après une énième altercation (j’avais osé lui demander de bien vouloir prévoir un autre endroit que la chaise sur laquelle je travaille pour déposer les dossiers dont il souhaite que je m’occupe en priorité, il m’a crié qu’il était « jusqu’à preuve du contraire chez lui » et qu’il allait donc continuer) je me suis fait arrêté 4 jours par un médecin qui m’a prescrit des anxiolytiques. Le lundi suivant il m’a convoquée par LRAR à un entretien préalable à un licenciement économique. Au cours de cet entretien il a déclaré n’avoir aucun reproche à faire sur mon travail et fait des compliments (ce qui est relaté dans le rapport qu’a dressé le consseiller du personnel qui m’y a assisté). Un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) m’a été proposé.
Mon employeur m’a indiqué vouloir mettre fin au contrat à la fin du mois alors qu’en cas d’acceptation du CSP il est rompu à la fin du délai de réflexion. J’ai accepté ledit CSP et lui ai adressé le dossier d’adhésion par LRAR. A sa réception il s’est présenté dans mon bureau, m’a hurlé dessus et demandé de quitter l’entreprise sur-le-champs arguant que mon contrat avait été rompu à la date de l’acceptation dudit CSP. Je n’ai pas quitté les lieux et lui ai, par mail, indiqué les textes prouvant le contraire et l’ai invité à retirer l’ordre donné de quitter l’entreprise. Il m’a appelée sur le téléphone du bureau et m’a indiqué qu’il s’est trompé. J’ai donc continué à travailler.
Le lendemain, (jugeant sûrment mon attitude froide) il m’a enjoint de maintenir une attitude « saine » jusqu’au dernier jour en me rappelant que dans mon secteur d’activité il est d’usage pour un potentiel recruteur de consulter le dernier employeur pour se renseigner sur un candidat et ce tout au long de ma carrière. Je lui ai rappelé qu’il s’était engagé à me remettre une lettre de recommandation ce qu’il conditionne également à mon attitude.
J’ai encore une dizaine de jours à travailler (seule) avec lui et, si je n’envisage pas de contester le licenciement (car il n’est pas question que je continue à travailler avec lui), je m’interroge sur l’opportunité d’une action visant à obtenir des dommages et intérêts, mais aussi me prémunir contre ses menaces que je prends au sérieux.
Vous priant de bien vouloir m’indiquer si une telle action est possible.
Bien cordialement
Amélie dit
Bonjour,
Mon employeur depuis quelques semaines, a entamé un processus à mon encontre (je suis cadre responsable) : blocage de certaines tâches que j’effectuais jusqu’alors, prises de rendez-vous à ma place (l’employeur agit comme un « dictateur »), réalisation d’entretiens à ma place (alors que ce n’est pas son métier). Etc.
Je suis en arrêt-maladie : mon employeur a dit à mes collègues (dont je suis la Manager) que j’étais en arrêt-maladie pour « burn-out, raisons de fatigue liée au travail mais aussi à ma vie privé ».
Peut-il mentir ainsi à propos des éventuelles raisons relatives à mon arrêt-maladie ?
Est-ce que ce fait peut-être inclus dans une procédure pour harcèlement ?
Grand merci à vous pour votre réponse
Carole LISTRAT dit
Bonjour maître,
Je travaille comme magasiniere dans un hôpital. J’ai un collègue qui est toujours entrain de parler sur mon dos, dit je discute en cachette, me suis dans les étages de l’hôpital. Où je vais, il est là. Surveille ce que je fais,…. j’ai averti la DRH ainsi que mon responsable, mais ne se passe car je n’ai pas de preuve. Comment puis-je faire pour y démontrer ?
Merci d’avance
Carole
Albert dit
Bonjour
Suite à un arrêt en 2022 pour grosse dépression à ce jour je rencontré des difficulté avec mon responsable ainsi que le drh qui retourne tout contre moi j’ai été en arrêt depuis le 010323 jusqu’au 8 janvier il mon dit de prendre tout mes congé jusqu’au 20 03 24 la vie de ma reprise j’ai reçu un mail me disant de pas reprendre mon travail une plainte à été posé et tombé à l eau
Je suis en soin TPT 50%et j’ai appris que je n était plus affecté à mon lieux de travail par une cadre soin je ne savais même pas
Je n’ai reçu aucune lettre recommandé me précisent le refus que je reprenne ainsi une soit disant mutation
Je ne sais plus quoi faire actuellement je veux reprendre mon travail étant en soin à 50%peu ton me muté et raison de santé de ma femme ?
Fernandez dit
Bonjour maître , après plusieurs arrêt pour dépression à la suite de la charge au travail. Je me sens pas trop apprécier par ma cadre qui me critique sans cesse durant mon absence. Qui fait des paris avec l adjoint de direction pour savoir si je vais revenir ou pas. Qui trouve déjà des personnes pour me remplacer sachant que je n’ai pas d’émission. J’ai une boule au ventre d’aller au travail, je me sens mal vraiment je ne sais pas si on peut appeler ça du harcèlement moral mais ce travail m affecte énormément je ne sais pas quoi faire
Natacha CANTAVE dit
Bonjour maître,
J’ai été convoqué à trois reprises par mon chef de service dans mon travail suite à une autres collègues qui vienne le voir régulièrement pour raconter des choses à mon sujet qui est du mensonge, elle se mets en arrêt pour stimuler une forme d’harcèlement, elle manipule d’autres collègues pour ses alliés avec qu’elle contre moi, elle a réussi. C’est très compliquées, je suis quasiment seule face à plusieurs personnes qui se cache derrière elle. elle dit au chef de service, que je dis qu’elle couchait avec lui et entretenue une relation sexuelle. Suite à cela ,j’étais convoquée, j’étais tellement choqué et dépasser de la situation, j’ai pleurée le l’arme de mon corps, je ne sais pas viennent ses rumeurs, il m’on dit dans le bureau par des collègues. Il m’on encore convoqué quelques mois plus tard pour quasiment la même chose mais concernant d’un nouveau collègue qu’on vient d’être
embauché en disant, qu’elle était en couple avec lui. J’ai l’impression qu’elle à un côté du pervers narcissiques, elle invente des histoires, pour faire passer pour la mauvaise personnes afin d’ éloigner mes collègues de moi et même les responsables. On me fait passer pour celle qui parle sur son dos et qui raconte des histoires. Enfin je suis toujours attristé, être souvent dans un coin, quand je viens au travail, je suis pas très bien à cause de l’ambiance quand t’elle est présent. Chez moi je pleure souvent car je ne comprends toutes ses problèmes, je me pose beaucoup des questions. Je ne sais pas croire faire.
Cordialement.
Natacha CANTAVE dit
Bonjour maître,
Je travaille avec des personnes en situation d’handicap psychique dans un Foyer de vie. Dans mon travail, je me suis trouvée, dans un boucle sans fin, de la manipulation, du mensonge…
J’ai été convoqué à trois reprises par mon chef de service car ma collègue viennent le voir régulièrement dans son bureau ou envoie de mail, pour raconter des choses à mon sujet qui est en majorité du mensonge. Elle se mets parfois en arrêt pour stimuler une forme d’harcèlement, elle manipule d’autres collègues, pour ses alliés avec qu’elle contre moi, elle questions mes collègues pour savoir si je parles d’elle, elle a réussi à s’éloigner des gens de moi. C’est très compliquée la situation, je suis quasiment seule face à plusieurs personnes qui se cache derrière elle. elle dit au chef de service, que je dis qu’elle couchait avec lui et entretenue une relation sexuelle. Donc suite à cela , j’ai été convoquée, j’étais totalement abasourdi, choqué et même dépasser de la situation, je ne comprenais ce qui m’arrive, j’ai pleurée le l’arme de mon corps. J’ai donc demandé au Chef de Service d’où viennent ses rumeurs, il me dit par des collègues. Quelques mois après, il m’ont encore convoqué quasiment pour la même chose mais concernant d’un nouveau collègue
qui vient d’être embauché, je m’entendais bien avec lui, on rigolait souvent ensemble. Comme par hasard un autre rumeur qui circule, que je dis qu’elle était en couple avec lui. J’ai l’impression, qu’elle à un côté du pervers narcissiques, elle invente des histoires, pour me faire passer pour la mauvaise personnes, elle fait en sortent que les collègues disent, que je suis celui qui cause des problème au travail et parle sur son dos. J’ai l’impression que le chef de service et la Coordinatrice sont alliés avec qu’elle. Le chef de service me fait passer pour celle qui parle sur son dos et qui raconte des histoires. Enfin je suis souvent attristé et dans un coin, quand je viens travaillée, je vais pas très bien à cause de l’ambiance et l’atmosphère quand sa présence est là. Je pleure souvent de l’injustice car je n’arrive pas à comprendre toutes ses problèmes, je me pose beaucoup des questions. Je ne sais pas croire faire. Le chef de service me dit que je fais du harcèlement moral à m’a collègue, elle s’est mis en arrêt maladie deux jours, on me dit c’est à cause de moi car je parle sur son dos. Je suis jamais été dans le bureau du chef de service contre pour se plaindre d’elle et pourtant, on me dit qu’elle parle de moi. Je voulais aller voir la directrice pour expliqué la situation, la personne e
harcèlement dans l’histoire c’est moi mais non ma collègue, mais le rôle son inversé….
Cordialement.
Karine dit
Bonjour Maître,
Je pense subir du harcèlement moral de la part d’une collègue. Mes supérieurs ferment les yeux sur ses agissements et je n’ai donc aucun soutien mais surtout pas de preuves car je ne peux compter sur mes autres collègues puisqu’elles la craignent. Ça a commencé par offrir des roses à toutes les femmes de l’entreprise pour la Saint Valentin sauf à moi suite au fait qu’elle ait voulu me faire passer pour une incompétente auprès de mon patron et j’ai osé prouver le contraire à ce dernier. Elle ramène des gâteaux et propose à tout le monde de se servir sauf à moi. Même si je trouve cela totalement puéril de sa part, il y a clairement une intention de me mettre à l’écart et de vouloir m’humilier. Elle refuse de me dire bonjour. Je ressens une forte intention de me pousser à la porte de mon entreprise. Que puis-je faire? Peut-on qualifier tout cela comme du harcèlement déguisé?
En vous remerciant pour votre retour et votre aide.
Florence dit
Même avec avocat , preuves des harcèlements, la justice belge ferme les yeux que ce soit au travail ( dénoncé par un officier ou à l’école ou dans la vie privée ( enregistrements audios-visuels, ….) dans notre cas les harceleurs utilisent la justice qui refusent tous nos preuves mais accepte celles des harceleurs!!!! Nous n’osons plus laisser notre maman seule car elle veut mettre fin à ses jours. Les harcèlements ont commencé suite à la déclaration de sa maladie la sclérose en plaques
Avocat dit
Article interessant et très complet. Merci
Piat dit
Bonjour maître,
Il y a quelque semaine j’ai subit des message de 0h15 a 3h00 du matin d’un collègue je travaillez ce soir là jusqu’à 23h30 j’ai pas eu le temp de faire la plonge donc un autre l’a fait . Ce collègue qui lui a quitter a 23h a eu l’information ma envoyé des messages malgres ma demandé d’arrêté malgres que je lui expliquer pourquoi je n’est pas pus le faire … Il m’a envoyé des messages. Avec par exemple » tu n’as pas fait ton travail , y a que toi qui l’a pas fait , tu te crois le centre du monde , tes pas capable de le faire , tu fait exprès et j’en passe je lui demande de stopper je lui rappel qu’il et pas mon responsable et que sera avoir avec un responsable il continue me dit ta plus d’arguments hein remet toi en question. Sa te fera du bien …
J’en passe j’ai plusieurs maladie en cours de diagnostic ce qui suite a sa ma déclancher une crise .. impossible de marche était de stresse et angois je vais chez Le médecin qui me dit de me mètre en arrêt je refuse car cette personne vas encore parler humilier ect je me dit puis aller je travail que 4 jours et j’ai une semaine de vacance je prend sur moi je passe sous morphine du au douleur… Mon retour de vacance j’y vais a reculons je me sans mal je préviens mon responsable que émotionnellement c’est tres compliqué avec cette personne que je me sans pas bien et que j’ai du mal a encaiser la situation ont ma corde le droit de rester en caisse le dimanche car pas de responsable pour éviter le contact le temp que sa ce règle .
Puis ce vendredi soir … Sa repart en présence de mon responsable cette personne avec qui je ne parle pas insite car j’ai dit vous voulais vraiment que je travail avec lui il fesais encore des blagues douteuse a mon égard je lui rappelle que deux fois dans la même semaine je leur et dit que j’allais pas bien psychologiquement ont me dit bah oui que j’allais être seul avec lui … Et la cette personne me parle je dit que je refuse de communiquer avec lui que je vais pas bien je veux pas il insiste mais moi ci tu veux faire ta maligne tu va voir dimanche si tu va être en caise moi je suis la tu va voir demdande pas a y aller tu ira pas … Devant mon responsable et d’autre collègue psychologiquement je m’écroule je dit à mon responsable faut que je pâte je risque quoi abandon de poste avertissement je peux pas rester comme sa il m’a dit que tu veux part tu veux je te dise quoi j’ai quitté mon poste plutôt que prévu .. prévenue mon patron et je suis en arrêt vu par le médecin le lendemain déclarer en état d’anxiété avancer et il m’a parler d’harcèlement moral et ma conseillé de voir mon médecin traitant voir si je suis pas également en dépression car je subit sa cette situation angoisse de travailler sans responsable juste avec lui depuis déjà 1 mois mais en 1 ans c’est pas la première fois que j’ai des souci avec cette personne mais là j’en peux pluss …
Quand pensez vous . ?
Mon patron veux aparament trouver des solutions et demande a le rencontrer